jeudi 20 septembre 2012
Ashley Cole, Je ne l'avais jamais demander de 250k euros par semaine-et parle de contrats de Chelsea
Football-Atletico perdre défenseur Juanfran pour La Liga opener
Ecclestone dit Olympic Park F1 attire les foules
Egypte 3-1 Belarus, Salah, Mohsen et Aboutrika aider les Pharaons en quarts de finale
France, les femmes veulent plus que des «médailles en chocolat»
mercredi 19 septembre 2012
Coy sur la situation de transfert de Maicon Stramaccioni
L1 Ziaya en contact avec l'USM Alger
Sans club depuis la fin de son contrat avec l'Ittihad Djeddah en janvier, Abdelmalek Ziaya pourrait faire son retour en Algérie cette saison, plus précisément à l'USM Alger.
En effet, l'attaquant international est en contact avec le club de Soustara, qui cherche toujours à renforcer son attaque avec un buteur de métier, selon le vice-président du club, Rebbouh Haddad.
''Vu que nous allons jouer sur quatre fronts (championnat, coupe dAlgérie, coupe de la CAF et coupe arabe), nous nous devions de monter un effectif riche et de qualité'', a déclaré le numéro deux de l'USMA à l'APS. ''Je pense que le recrutement était une totale réussite, en attendant de mettre la main sur un attaquant de grande valeur''.
Outre l'intérêt de l'USM Alger, le nom de l'ancien goleador de l'ES Sétif est toujours cité dans la presse tunisienne. Pour rappel, le mois dernier, le manager et frère du joueur a rencontré les dirigeants du Club Africain en Tunisie. Plus récemment, on parle également de l'intérêt du CA Bizertin, qui occupe la deuxième place du championnat.
Le dernier match de Ziaya remonte au 19 octobre 2011, date de la demi-finale de la Ligue des Champions d'Asie opposant l'Ittihad aux Coréens du Jeonbuk Motors, match durant lequel il s'était blessé.
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David Villa ravi de faire retour à Barcelone
FIFA efface sélectionneur du Japon pour jouer pour le tirage
Football, le Brésil étape de mouvement proche de l'or insaisissable
Vikash DHORASOO ou le pire du commentaire FOOT
Fan de SOFOOT, nous sommes les premiers à les citer lorsque les infos sont croustillantes et c'est en général du bon travail pour dénicher les infos.
Mais là, honnêtement, ce n'est pas le meilleur édito foot que nous récompensons mais une vaste blague. Faire appel à Vikash Dhorasoo qui n'a pas vraiment marqué les esprits sous le maillot bleu pour casser du bleu, quel intérêt ? C'est idiot, facile, et surtout pas objectif ! Drôle ? euh non même pas..inutile.
Allez on est quand même beau joueur, on met le lien vers l'article de sofoot qu'on apprécie et non une copie de l'article en citant la source...
Dhorasoo voit par exemple Ruffier entièrement responsable du premier but alors que la responsabilité est plutôt à partager entre lui et Hoarau et qu'il réalise deux belles parades salvatrices quelques minutes plus tard....Il l'estime donc grillé pour les bleus. Alors on peut donc considérer LLoris grillé aussi pour son match et ses sorties hasardeuses contre l'Afrique du Sud....Vikash...tais toi ! On a tous notre avis mais on le balance pas a tout bout de champ et avec méchanceté. Encore un qui a vite oublié qu'il avait été joueur. Nous aussi !
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CL - Poules, 1e j. L'ASO se prépare dans la «difficulté»
Unique représentant du pays en phase de poule de la Champions League africaine, l'ASO Chlef n'aborde pas la compétition sous les meilleurs auspices.
Les Algériens accueillent ce samedi au stade Boumezrag de Chlef (21h00) les Tunisiens de l'Etoile du Sahel en ouverture du Groupe A. Les Chéliffiens s'y préparent dans la «difficulté», admet le président du club, Abdelkrim Medouar. «Nous nous sommes retrouvés contraints de déplacer nos entraînements à Oued El Fodda (25 km de Chlef), car le stade de Chlef est réquisitionné pour une festivité. Notre préparation est vraiment perturbée, alors que tout le monde était censé mettre tous les atouts de notre côté, du moment que l'ASO est la seule équipe algérienne encore en lice dans les compétitions africaines», a confié, hier, le patron de l'ASO.
A la lutte contre le temps pour boucler un recrutement très poussif, l'ASO Chlef n'a pas encore reçu la confirmation de la qualification pour les joutes africaines de ses nouvelles recrues (Mohamed Amroune, Chemseddine Nessakh et Patrick Kamgaing) : «Nous avons fait le nécessaire auprès de la fédération algérienne de football (FAF) afin de transmettre les dossiers des nouvelles recrues à la confédération africaine (CAF), et nous espérons récupérer les licences africaines des joueurs en question avant la première rencontre de la phase des poules».
Sur le terrain, le club algérien se présentera forcément déforcé. Après les départs de Mohamed Seguer (USM Alger), Benziane Senouci (MC Oran), Chérif Abdeslam (libre) et Hocine Achiou (libre), l'ASO sera également privée des services de Samir Zaoui et Samir Zazou, tous deux suspendus. Charif Nasseri et Youssef Maâmar sont également douteux (obligations militaires). Medouar espère toutefois pouvoir compter sur ces deux derniers éléments. «J'espère que l'on va nous libérer les deux joueurs dans les meilleurs délais, d'autant plus qu'il s'agit pour nous de défendre les couleurs nationales dans cette épreuve», conclut-il.
Toufik O.
PSG Leproux se réveille ..un peu tard !
Humiliés à domicile par Lorient, le PSG découvre que rien ne va plus. Le président réagit enfin et promet plus dexigence. Il était temps. Antoine Kombouaré, lui, semble avoir toujours le soutien de son président qui l'associe à sa réflexion. Les supporters parisiens peuvent nourrir des inquiétudes.
« On est dans une situation inacceptable, a estimé le président parisien à l'issue de la défaite de son équipe face à Lorient. On a honte. Nous n'avons pas le droit de baisser les bras au PSG. Il faut maintenant sortir de cette situation en se remettant tous en question. Moi le premier. Il va y avoir ceux qui ont envie de se battre, de relever la tête et ceux qui vont poursuivre leur routine. Je passe un cap supplémentaire dans mon exigence et avec Antoine Kombouaré nous allons nous battre pour obtenir le mieux des joueurs qui veulent nous suivre. J'ai peut-être été naïf dans certaines analyses. C'est désormais terminé. Et même s'il convient de revoir nos objectifs à la baisse, il est inacceptable de se faire humilier de la sorte au Parc des Princes. Il faut changer nos méthodes de travail, notre état d'esprit et trouver la rage nécessaire pour défendre les couleurs du club. »
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Niang revient sur sa carrière
Une interview passée inaperçue sur les sites majeurs spécialisés dans le football mais terriblement intéressante pour les fans de lOM et de la ligue 1...
Mardi 8 février, dans un hôtel stalinien de Dakar où la sélection sénégalaise est au vert avant un match amical gagné (3-0) face à la Guinée. Un président de club branche un gardien. «Alors, tu signes ?»«Pfff, j’en peux plus de la sélection, je joue que pour moi, l’équipe…» On alpague Mamadou Niang, ancien meilleur joueur de Ligue 1, ex-idole du Vélodrome de Marseille et actuel attaquant (12 buts en 22 matchs) au Fenerbahçe d’Istanbul (Turquie). En fin connaisseur, il nous raconte le foot français (11 saisons pro).
Un souvenir marseillais ?
Le titre de champion de France en mai, ndlr, le reste… On est mal parti. Vraiment. Et puis on se parle, on discute, on tente de croire en nous. On voit aussi, après, que le coach croit en nous. On se dit des vérités, parfois cruelles. Puis on est récompensés. On daube sur l’entraîneur en ce moment, mais Didier Deschamps, c’est un type qui ressent le mal-être du joueur. Qui te parle. Qui cherche. Tu peux être mal deux ou trois matchs : il te laisse du temps de jeu. Il veut savoir : pourquoi, comment ?
Mais il y a toujours des rapports de force ?
Non. Même quand on m’a donné le brassard, j’ai tenté de faire le taf. Et si les joueurs étaient tristes quand je suis parti, je crois que ce n’est pas tant pour mes qualités de joueur que pour mon rôle dans le vestiaire et mon influence auprès des jeunes joueurs. Quoi qu’on en dise, le collectif a toujours été ma priorité.
Mais vous avez joué la stratégie de la tension pour partir en Turquie ?
Faux. Posez la question aux joueurs. Après, le club doit laisser partir celui qui a une opportunité. Prenez Dimitri Payet, qui ne s’est pas entraîné pour partir de Saint-Etienne : le club stéphanois l’a bien débauché de Nantes en 2007… Il est dans le Forez depuis trois ans, il veut aller au PSG, gagner plus, se montrer plus, prendre du galon chez les Bleus. Pourquoi on lui refuse ça ? L’ambition, c’est le moteur du joueur.
N’empêche, quand vous êtes parti, on vous a traité de mercenaire…
Mais ça veut dire quoi ? J’y ai passé cinq ans, je suis parti du plus bas salaire, ou presque. J’ai fermé ma gueule, j’ai bossé, je suis resté. J’ai pourtant eu plein d’occasions de partir pour beaucoup d’argent…
Pourquoi ne pas être parti avant ?
Parce que je n’avais rien gagné avec l’OM. Là, cet été, j’avais 30 ans, c’était maintenant ou jamais. On m’a flingué injustement. J’ai beaucoup sué pour ce club, et il m’a beaucoup rendu.
Rester en contact avec le réel, mission impossible pour un pro ?
Non, c’est facile : il suffit de couper son portable. Sinon, c’est simple : t’es toujours rattrapé. Par le pote qui te parle de ton match. Le supporteur qui demande pourquoi t’as foiré un but il y a dix semaines. L’agent qui te laisse entendre que t’as des pistes ou plus du tout. Nous, on aspire à un truc : juste ne plus parler ballon.
L’arrogance, la morgue de la nouvelle génération, c’est ce qu’il s’est dit à l’Euro 2008 avec les Bleus…
Je ne sais pas et, franchement, je n’ai pas envie de savoir. Je parle de ce que je vois : ce n’est pas de la faute des jeunes. Il faut voir la pression de l’entourage, de l’encadrement, des intermédiaires… On leur monte le bourrichon, on leur fait croire qu’ils vont faire lever les stades ou les remplir. Moi, j’ai eu la chance d’avoir un coach comme Alain Perrin à Troyes, entre 1999 et 2003. Il a été dur avec moi. Fallait que j’en fasse toujours plus que les autres. Je trichais un peu, il me faisait payer. La veille d’un match contre Lens, j’avais oublié ma gourde sur le terrain. J’ai menti : «Non, je l’ai.»«T’as pas à me mentir, tu me trahis», c’était sa réponse. Il m’a fait faire trente tours de terrain, je devais les compter. J’étais rincé, je n’avais plus de cuisses. Je n’ai plus jamais sorti de craques depuis.
Une façon de vous responsabiliser dans un milieu infantilisant ?
C’est clair. On n’en peut plus d’être pris en charge.
Vos débuts au Havre ?
Je venais d’un quartier pauvre. Mon père était OS, il bossait à la chaîne chez Renault. Il devait faire vivre ma famille : deux sœurs, cinq frères. Moi, j’ai eu le bol d’être pris au centre de formation. Je n’ai jamais voulu en faire mon métier. C’était un rêve, une sorte de plaisir. Je kiffais : je ne voyais pas mes potes de quartier, mais j’étais proche de Nicolas Douchez à Rennes aujourd’hui et de tant d’autres qui se sont fait fracasser. Les autres jeunes venaient de la région parisienne. J’étais forcément le vilain petit canard. Le moindre problème, ça me retombait dessus. J’étais censé foutre la merde parce que je venais d’un quartier. A chaque fois, j’étais stigmatisé. On m’obligeait à sortir les poubelles pendant un mois, on me disait de balayer les feuilles devant le centre de formation. Si je me rebellais pour des conneries que je n’avais jamais faites, je risquais d’être viré. Jusqu’au jour où une grosse saloperie a été faite et que j’ai été injustement accusé. Là, j’ai craqué. J’avais 17 ans. Ma mère m’a ramené à la maison. Elle est venue au centre. Elle s’en est pris au président du club, Jean-Pierre Hureau , plutôt qu’au président du centre de formation, Jean-Pierre Louvel actuel président du Havre ainsi que du syndicat des présidents de club.«Attends, tu te plantes, lui, ça n’a rien à voir.» On est resté proches avec Hureau, je l’aime beaucoup : on en reparle, on en rigole. Il me dit encore : «Quand ta mère est arrivée, j’en ai pris plein la gueule.» Elle s’en était pris à la mauvaise personne. Elle voulait que j’arrête tout.
Vous avez besoin de briller ?
Oui, consciemment ou pas. Après, le foot peut s’avérer injuste. Il met en avant les attaquants, met - et tu remets, car les images tournent en boucle - en valeur celui qui marque. Mais prenez Souleymane Diawara défenseur marseillais : il gagne moins que moi à Fenerbahçe ou que plein de mecs à l’OM. Or, sur un terrain, il fait dix fois plus qu’un attaquant mieux rémunéré que lui qui marque sept pions par saison.
La Ligue 1 ?
Exigeante et pointue. Si c’est nul, pourquoi est-ce que les attaquants étrangers ne s’y baladent pas ? Parce qu’on a des défenses super organisées et les meilleurs gardiens d’Europe. Parce que le foot, en France, c’est comme les échecs : beaucoup de stratégie. T’avances tes pions, tu ne pars pas la fleur au fusil.
Le calcul ne tue-t-il pas l’instinct, le sens du moment décisif ?
Non. Mais le foot, au fond, est toujours plus compliqué que les journalistes sportifs ne le pensent. A l’OM, avec Eric Gerets, j’avais soi-disant des absences. C’est vrai. C’est vrai aussi que le coach ne me demandait pas toujours de marquer : je devais multiplier les appels, les contre-appels, créer des espaces pour d’autres. Etre plus défensif. Accepter les exigences du coach : normal pour un pro, mais les gens ne le voient pas. Quand tu gagnes et que l’équipe jubile, t’en as rien à foutre de lire la presse le lendemain.
Le foot, c’est quoi en dehors du boulot ? Une passion ? Un rejet ?
J’ai longtemps été accro grave, capable de mater des matchs de Ligue 2 ou de m’enthousiasmer devant une rencontre entre Stoke City et West Bromwich. Maintenant, je coupe. Sauf quand c’est Barcelone ou Arsenal.
On vous dit envieux d’aller à Liverpool. Le championnat rêvé ?
Je suis à Fenerbahçe, pour l’instant. Après, le foot anglais, c’est un monde à part. Imparfait mais spontané : ça part dans tous les sens, ça va vite, ça n’abdique pas. Une culture du foot comme nulle part ailleurs. Et l’argent coule à flots.
On vous réduit parfois à des mecs sans cerveaux, qui courent sur un rectangle vert…
Moi, j’ai fait un BEP de compta et j’ai une expérience de la vie. J’ai pris des coups, j’ai encaissé : de la pression, de la violence, du mépris. Faut faire avec, tracer sa voie. Après, parfois, on est un peu perdu. On n’a pas pu pousser nos études. Mais on a une carrière. Je connais des types qui avaient un talent monstre, qui se sont fait briser physiquement et qui se sont retrouvés à la rue.
Que pensez-vous de la génération des Nasri, Benzema, Ménez ?
Brillantissime. Samir Nasri, il est d’une intelligence rare dans la gestion de sa carrière. Je savais que c’était lui qui allait le mieux s’en sortir. Parfois, à l’OM, on dormait dans le même lit tellement on se racontait des histoires, des anecdotes. Il a toujours été intelligent. Il n’a pensé qu’au foot… et su ne pas penser qu’au foot. Jérémy Ménez, Karim Benzema, Issiar Dia qui a choisi de jouer pour le Sénégal, Blaise Matuidi… C’était difficile pour eux. J’ai eu une carrière progressive : eux, à 20 ans, ils cartonnaient. Tout leur était donné, ils n’avaient plus qu’à prendre. Une forme de malédiction : la presse sur ton dos, qui épie tes faits et gestes. Il faut avoir le cuir épais. Le pire, ce sont les insultes.
Il y a des stades de Ligue 1 où vous ne vouliez pas jouer ?
Le Parc des Princes, c’était pesant. Tu rêves que cela se finisse avant même d’avoir commencé le match.
Capitaine du Sénégal, après y avoir vécu un an seulement, ça veut dire quoi, au fond ?
Que je suis sénégalais, même si j’ai vécu en France où il est arrivé à l’âge de 1 an. Il y a parfois eu, dans le passé, une ambiance étrange. Certains se disaient plus sénégalais que d’autres. Mais quand tu portes le maillot des Lions de la Téranga, tu le mouilles, non ? Il y avait des clans et beaucoup de théâtre. Les mecs se pointaient avec la plus belle montre, la plus belle caisse, la plus belle meuf. J’avais dit stop en 2008, après la Coupe d’Afrique des nations au Ghana le Sénégal a été sorti au premier tour. Pourtant, c’est un espoir pour un peuple. C’est jouissif de rentrer sur le terrain pour ta sélection. Parce qu’elle n’appartient à personne.
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Commentaires
1. Le samedi 21 mai 2011 à 20:27 , par guilhem
Rien a dire,
Interview exceptionnelle de Mamadou Niang qui permet d'en découvrir encore plus sur un homme et un joueur tous deux de grande qualité. Et comme si ca ne suffisait pas, il nous donne avec intelligence son analyse sur des points débattus par nombre de journalistes avec moins de perspicacité: les caractéristiques du championnat francais, les aléas de la formation des jeunes, la discrimination envers les jeunes des quartiers, le statut des buteurs,... Une grande interview pour un grand Monsieur.
Merci a vous de sortir ca, je l'avais cherchée partout celle la.
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Le PS Move testé par les joueurs du FC Nantes
Le but de la tournée est de faire découvrir les sensations de la nouvelle manette « MOVE » au public, mais également à des célébrités. Les joueurs du FC Nantes se sont prêtés au jeu. Possesseurs de PS3, ou futurs possesseurs, faites-vous un avis sur la révolution du PS Move. Un accessoire et une expérience de jeu plus jolie et plus précise que la Wii. Et les jeux ne manquent pas avec des rééditions de certains jeux compatibles avec cet accessoire comme Heavy rain par exemple, ou des compilations de mini-jeux très drôles...Nous avons testé et nous en sommes très agréablement surpris, car même les effets de balle sont pris en compte selon les mouvements effectués avec cet accessoire lorsque l'on joue au ping pong par exemple.
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Commentaires
1. Le jeudi 14 octobre 2010 à 13:59 , par gaga
Ca a l'air canon
2. Le jeudi 14 octobre 2010 à 14:02 , par medj
Je trouve cela super sympa, je pense que je vais l'acheter pour noël et faire des heureux. De bons moments à partager en famille ou entre amis.
3. Le jeudi 14 octobre 2010 à 14:11 , par eric
mouais..moi je demande a essayer, mais bon c vrai par contre graphiquement ca doit etre plus sympa que la Wii mdr
4. Le vendredi 15 octobre 2010 à 18:18 , par Eloo
Super, franchement j'ai hâte de pouvoir l'essayer. Sa à l'air vraiment cool.
5. Le vendredi 15 octobre 2010 à 21:47 , par lola
ça a l'air cool je tenterai bien
6. Le lundi 18 octobre 2010 à 00:43 , par gagman
gt5 encore repoussé..blasé ! j'espere que la ps3 va tuer la wii avec le move nintendo c'est des cons !
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L1 Miguel Angel Gamondi nouvel entraîneur de l'USM Alger
Le nouvel entraîneur de l'USM Alger se nomme finallement Miguel Angel Gamondi et non Rolland Courbis. Le technicien argentin, passé par le CR Belouizdad notamment (saison 2010-2011), entraînait le club émirati de l'Ittihad Kalba la saison dernière.
L'Argentin quitte donc les Emirats Arabes Unis sur une montée réalisée avec Al Ittihad Kalba, sacré champion de Division 2. Trois challenges importants ont été fixés au nouvel entraîneur usmiste, qui devra se battre pour le titre en Ligue 1, la Coupe dAlgérie et la Coupe de la Confédération africaine de football (CAF) sont également des compétitions dans lesquelles l'USMA est appelée à briller.
Rolland Courbis, un temps fortement pressenti pour prendre en main l'équipe, a finalement décliné l'offre du président Ali Haddad, qu'il a toutefois jugée satisfaisante. L'actuel consultant de la radio RMC devrait selon toute vraisemblance retrouver le banc de l'AC Ajaccio (Ligue 1 française).
Toufik O.
mardi 18 septembre 2012
Verts Ziaya buteur en amical contre le Stade Tunisien
Auteur d'un doublé il y'a quelques jours contre le Sharjah SC en amical, le nouveau attaquant du CA Bizertin Abdelmalik Ziaya a été de nouveau buteur hier contre le Stade Tunisien.
Comme ce fut le cas lors du match contre Sharjah, Ziaya a été quasi immédiatement décisif. En effet, rentré à la mi-temps, il a trouvé les fonds du filet seulement cinq minutes plus tard. Mené 1-0, l'attaquant algérien a égalisé à la 50ème minute avec une superbe reprise de volée suite à un corner de Nour Hadhria. Le CA Bizertin a ajouté un deuxième but à la 56e minute pour remporter le match 2-1.
Malgré une longue période éloignée des terrains, il semble que Ziaya, auteur de 3 buts en 3 matchs de préparation avec sa nouvelle formation, n'ait rien perdu de ses qualités devant le but adverse.
Quant au championnat, a l'arrêt depuis fin de juin, la reprise est prévue pour le 24 aout. A six journées de la fin, le CAB occupe la deuxième place de championnat, avec un point de moins que le leader, l'Espérance de Tunis.
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Ligue 2 Arles Avignon en ligue 1, Strasbourg en National !
Promu en Ligue 2 il y a un an, Arles Avignon évoluera la saison prochaine en Ligue 1 alors qu'il évoluait en CFA 2 il y a encore 5 ans. Une victoire synonyme de troisième place ce vendredi soir et de montée en Ligue 1. Arles-Avignon accompagnera Caen, champion 2010 de Ligue 2 et qui sera remonté rapidement après sa descente, et Brest, qui a évolué en ligue 1 au début des années 1990. Cependant, la montée d'Arles-Avignon pourrait être remise en cause puisque le club dispose de structures limitées et d'un stade qui, pour l'instant, n'est pas homologué par la Ligue 1. Autre surprise, mauvaise celle-ci, Strasbourg, qui termine à la 19ème place, descendra en National. Les Alsaciens, la saison passée, avaient échoué de peu pour remonter en Ligue 1.
Retrouvez Foot-news sur facebook !
Article rédigé par Grégory VOL, journaliste Foot-News. Adressez lui vos commentaires en bas de cette news. Celle-ci sera validée après vérification.
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Transferts Hadj Bouguèche tout proche d'Al-Taawon (KSA)
L'attaquant algérien Hadj Bouguèche est tout proche de rejoindre le club de Saudi Pro League dAl-Taawon.
Libre de tout engagement, il devrait signer son contrat dans les prochains jours avec le club de Buraidah, son troisième club en Arabie Saoudite après avoir évolué au Qadisiyah et Al-Nassr la saison dernière.
Malgré une belle saison au terme de laquelle il a terminé cinquième meilleur buteur du Championnat, Bouguèche a vu son contrat avec le Nassr résilié sur demande du nouvel entraîneur. Mais ses prestations ne sont pas passe inaperçues dans le pays et l'enfant d'Arzew a été sollicité par de nombreuses formations du Royaume et des pays voisins.
A Al-Taawon, il formera une paire d'attaque avec l'ancien international sénégalais, El Hadji Diouf. L'ancien joueur de Liverpool a signé un contrat d'une année avec le club, qui n'a assuré son maintien que lors de la dernière journée.
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Transferts Boudjakdji prolonge de deux ans à Tlemcen
Grand soulagement pour les supporters Widadi, l'indispensable capitaine Anouar Boudjakdji a décidé de prolonger son bail avec le WA Tlemcen.
Annoncé sur le départ faute d'avoir pu trouver un accord avec les dirigeants du club, le solide défenseur a finalement signé un contrat de deux ans hier. Il devrait rejoindre les entrainements aujourd'hui et pourrait participer au match amical contre le CRB Hennaya demain.
Malgré son âge (il fêtera ses 36 ans le mois prochain), Boudjakdji reste l'un des joueurs les plus performants du championnat. La saison dernière, l'ancien international a joué un grand rôle au sein de la défense Widadie, disputant 27 matches en Ligue 1 et inscrivant 3 buts. Il a apporté notamment son expérience pour encadrer les jeunes joueurs de l'effectif, la plupart nayant jamais joué à ce niveau.
> Retrouvez tous les transferts de Ligue 1 en tableau
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Transferts Rebih prolonge finalement au CR Belouizdad
L'ultimatum fixé par Aboubakr Rebih a semble t-il fonctionné. L'attaquant international a signé un nouveau contrat de deux ans en faveur du CR Belouizdad, mettant ainsi fin au suspense qui entourait son cas.
«J'ai renouvelé mon contrat avec le CR Belouizdad pour deux nouvelles saisons. J'ai préféré rester car j'estime que le football n'est pas qu'une question d'argent. Je fixe donc rendez-vous aux supporters du club la saison prochaine pour nous battre pour le titre», a confié celui qui était convoité par une série de clubs de Ligue 1, au site des supporters du club, chabab-belouizdad.org.
Saâd Sahraoui (Olympique Médéa), Sofiane Harkat (libre), Hakim Khoudi (Lakhdaria), Abdelkader Messaoudi (USM El Harrach) et Ahmed Chouih (MO Constantine) se sont également engagés en faveur du club de Laâqiba.
Toufik O.
CL Chlef en quête d'un exploit face au champion en titre
LASO Chlef, qui a raté son entrée en lice dans la phase de poules de la Ligue des champions dAfrique de football en concédant une défaite à domicile contre lES Sahel (Tunisie) 1-0, est appelée à rectifier le tir face à lautre représentant tunisien dans ce groupe A, lES Tunis, vendredi (22h00) au stade de Radès pour le compte de la deuxième journée de lépreuve.
Le représentant algérien, à pied duvre dans la capitale tunisienne depuis lundi, tentera de relever le défi face au champion dAfrique en titre, ce qui nest pas une mince affaire, saccordent à dire les spécialistes.
Lentraîneur de lASO, Rachid Belhout, en est dailleurs conscient, mais cela ne lempêche pas de motiver ses troupes pour jouer à fond leurs chances, dans lespoir de créer la surprise face à un adversaire qui a débuté en force cette phase de poules, en allant imposer sa loi sur le terrain des Nigérians de Sunshine Stars (victoire 2-0), lors de la première journée.
Le fait de disposer cette fois-ci de tout son effectif, met lASO dans de meilleures dispositions, comparativement à la première rencontre contre lESS, où les Chélifiens étaient amoindris de deux joueurs clés : Samir Zaoui et Samir Zazou, absents pour suspension.
Le retour des deux défenseurs est tombé à point nommé, dans la mesure où les spécialistes sattendent à ce que larrière garde algérienne subisse tout le poids de la rencontre.
«Je suis en possession de tous mes moyens et prêt pour pousser mes coéquipiers vers lavant. Certes, notre mission sera très difficile face à un adversaire qui nest pas à présenter, mais nous sommes déterminés à créer la surprise, et pourquoi pas refaire le coup de Kinshasa (RD Congo)», confiait Zaoui, le capitaine de lASO avant le départ de son équipe vers la capitale tunisienne.
Laspect psychologique est ainsi bien pris en charge par les dirigeants et le staff technique du club algérien, rappelant à chaque fois aux joueurs quils sont capables de rééditer le scénario du match contre les Congolais de Vita Club, quand ils avaient réussi, dans un tour précédent, à renverser la vapeur en damant le pion à leur adversaire chez lui (victoire 3-2), après sêtre contentés dun match nul à domicile à laller (1-1).
Pour leur part, les Tunisois de lentraîneur Nabil Maâloul, ne veulent sûrement pas rater cette aubaine pour confirmer leur nette détermination à garder leur trophée africain. Le report du départ vers létranger de leurs deux vedettes, Youcef Mssakni et Yannick Ndjeng, traduit du reste, les ambitions de la direction du club de remporter la Ligue des champions pour la deuxième fois daffilée.
Aussi, Maâloul pourra compter sur les services de sa nouvelle recrue algérienne, Youcef Belaili (21 ans), qui vient dobtenir sa licence africaine lui permettant de prendre part à la suite de laventure continentale de son équipe.
Dans le registre des défections, le milieu de terrain Majdi Traoui, qui a écopé dun carton jaune contre Sunshine Stars, ratera le match de vendredi, de même que le défenseur Walid Hicheri qui vient dêtre opéré de lappendice lobligeant à observer une période de repos de trois semaines, a annoncé le club vainqueur du triplé (Ligue des champions, championnat et coupe de Tunisie) en 2011.
La partie pour laquelle seulement 15.000 tickets ont été mis en vente, sera dirigée par larbitre marocain Bouchaib El Ahrach. Il sera assisté de ses compatriotes Redouane Achik et Mimouni Bekkali
APS
lundi 17 septembre 2012
LLoris, largement plébiscité
Résultat de notre sondage sur le meilleur gardien de France. Mandanda reste 2ème, devant Carrasso...
Quel est le meilleur gardien de ligue 1 ?
LLoris (66%) Mandanda (19%) Carrasso (6%) Ruffier (5%) Landreau (2%) Douchez (3%)
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L1 Amical, Raja Casablanca 1-1 JS Kabylie
Une foule immense était présente hier soir au Stade Mohamed V de Casablanca pour le match amical entre deux géants africains, le Raja Casablanca et la JS Kabylie. Le match s'est soldé sur le score d'un but partout (1-1).
Près de 35,000 supporters ont créé une belle ambiance durant cette soirée ramadanesque avec des fumigènes et des feux d'artifice. Malgré le soutien de ses supporters, c'est la JS Kabylie qui a ouvert la marque en première période grâce à un but de son international, Essaïd Belkalem. Le défenseur a repris un corner avec sa tête pour donner l'avantage aux Canaris. Le Raja a égalisé en deuxième mi-temps par le biais de Mohsine Moutouali, qui a marqué sur penalty.
Deux autres matchs amicaux sont prévus durant ce stage au Maroc, dont un ce soir contre le vice-champion de la saison écoulé, le FUS de Rabat, avant le retour en Algérie le samedi prochain.
.
Edmílson Je buvais trop, dieu m'a sauvé la vie
L'ancien joueur de l'OL n'a pas oublié sa jeunesse difficile au Brésil. Il se souvient de l'eau de vie locale qu'il a commencé à boire, dès l'âge de 12 ans, après les journées de travail au champ.
Lors d'un entretien avec la chaîne espagnole Sexta, José Edmílson Gomes de Moraes, dit Edmílson, actuellement au Real Saragosse, est revenu sur sa jeunesse difficile. J'ai eu une jeunesse assez difficile surtout à cause de l'alcool. Mon père ramassait des oranges et, dès l'âge de 12 ans, je travaillais avec lui. A la fin de la journée, le propriétaire de l'exploitation offrait une bouteille de cachaça (NDLR : eau de vie brésilienne obtenue par fermentation du jus de canne à sucre), de l'alcool pur. Une fois que les adultes avaient terminé de boire, j'achevais le fond de la bouteille. C'est dans ce contexte que le joueur brésilien a grandi jusqu'à passer ses sorties du samedi soir à boire de plus en plus d'alcool. Si je suis sorti de là, c'est grâce à Dieu. Sans lui, je ne serais peut-être même plus vivant.
Article rédigé par Grégory FEVE, journaliste Foot-News. Adressez lui vos commentaires en bas de cette news. Celle-ci sera validée après vérification.
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Le Mali fin prêt pour la réception du Rwanda
A la veille d’accueillir samedi le Rwanda en match retour du deuxième tour éliminatoire de la CAN U20, le camp malien se montre résolument optimiste, qu’il s’agisse de l’entraîneur Moussa Keita ou du capitaine de l’équipe Ali Yirango.
Pour se qualifier, les Aiglons doivent impérativement combler le handicap d’1 but concédé à Kigali. Les Rwandais l’avaient emporté par 2 buts à 1. Pour Moussa Kéita dit « Dougoutigui » qui signifie, en langue nationale, le Chef du village, tous les moyens ont été mis en œuvre pour la victoire et la qualification. « Nous allons leur rendre la monnaie de leur pièce» (Moussa Keita, entraîneur) Cafonline.com : Sur quoi basez-vous la confiance qui vous anime ?Moussa Keita : « Déjà sur notre performance à Kigali. Mes joueurs ont livré un match de qualité chez eux. Ils ont juste manqué d’un peu de concentration dans le dernier quart d’heure. Nous avions les moyens de nous imposer. Maintenant nous nous retrouvons devant une équation simple : leur marquer deux buts de plus. C’est bien sûr le genre de match-piège dont il faut toujours se méfier. Un but de retard, cela paraît peu. C’est pour cela qu’il faut rester terriblement concentré du début à la fin de la rencontre. Avec le soutien de notre public je pense la tâche largement à notre portée. Nous avons les moyens de le faire, nous devons le faire ». Cafonline.com : Tactiquement, quelles seront les consignes ?Moussa Keita : « On est obligé de marquer. Cela signifie qu’il doit y avoir une forte animation offensive mais, en même temps, nous ne pouvons rien laisser passer en défense. Les consignes sont claires. Chacun de mes joueurs est mis face à ses responsabilités, individuellement et collectivement. Mais j’ai confiance, nous allons rendre aux Rwandais la monnaie de leur pièce avec ses intérêts, c’est-à-dire avec ce but supplémentaire ui va nous qualifier pour la dernière étape avant la CAN ». « Nous, nous qualifierons » (Ali Yirando, capitaine)Cafonline.com : Comment espérez-vous rétablir la situation à Bamako ?Aly Yirango : « On ne renouvelant pas les erreurs commises chez eux, notamment sur les coups de pied arrêtés. En nous montrant plus efficaces devant leur cage. A l’aller nous n’avons pas joué un mauvais match mais les Rwandais ont été meilleurs que nous. Ils ont alterné les temps forts et les moments de relâchement. A nous d’imposer notre rythme et notre jeu ». Cafonline.com : Qu’est-ce que vous redoutez le plus chez vos adversaires ?Aly Yirango : « C’est une équipe qui garde bien le ballon au sol. Mais devant chez nous, les Rwandais ne sont pas insurmontables. Je pense que nous devrions nous qualifier. En tout cas, nous avons tout fait depuis notre retour de Kigali pour nous repositionner dans la course à la qualification. Le travail a été efficace. Chacun sait ce qu’on attend de lui. Je suis convaincu que tout va bien se passer ».
JO 2012 Makhloufi médaille d'or, déclarations
Déclarations recueillies par lAPS après la victoire de lAlgérien Taoufik Makhloufi en finale du 1500 m mardi soir à Londres aux Jeux Olympiques 2012.
Taoufik Makhloufi medaille d'or au 1500m : « Cest fantastique, cest magnifique, cest le plus beau jour de ma vie de sportif, cest un rêve de gosse qui vient de se réaliser. Je dédie cette médaille dor à tout le peuple algérien à loccasion du cinquantenaire de lindépendance de lAlgérie. Ça na pas été facile face aux meilleurs spécialistes mondiaux sur cette distance. Jétais bien dans ma tête, sûr de mes capacités. Jai bien contrôlé la course. Jai accéléré au meilleur moment. Les conditions climatiques difficiles avec notamment la pluie battante ne mont pas gêné pour autant. Jai bien préparé ma course avec mon staff. Dieu merci jai gagné. Elles mont permis daborder la finale dans de très bonnes dispositions en dépit de la difficulté de la course. Jai prouvé que jétais le meilleur aujourdhui et que je mérite la médaille dor ( ) Je nétais pas perturbé par cette histoire de disqualification. Jétais tranquille et serein dans mon coin à préparer avec mon staff technique cette finale. Le moral était au beau fixe, seule la blessure au niveau de mon genou minquiétait, dieu merci jai pu récupérer rapidement ( ) Le début de lannée 2012 a été difficile pour moi avec le changement dentraîneur qui a engendré un changement dans la manière de se préparer. Jai passé les sept derniers mois à létranger en Afrique et en Europe en préparation intense, loin de ma famille. Aujourdhui, je récolte les fruits de mes sacrifices durant plusieurs années. Jespère que ma famille est fière de moi. Je leur dédie cette victoire ainsi quà tous les habitants de Souk Ahras ( ) Morceli est un grand du 1500 qui marqué de son empreinte cette distance pendant plusieurs années tout comme Hassiba Boulemarka, ils nous ont montré la voie, chacun a connu une période faste dans sa carrière. Jespère réussir comme eux mais tout en gardant ma personnalité »
Ahmed Boubrit (Directeur technique national) : « Cest un grand jour pour le sport algérien qui vient décrire lune de ses belles pages après cette belle victoire de Makhloufi en finale olympique du 1500 m. Il était au rendez- vous avec lhistoire. Nous étions confiants dès le départ et nous lavons annoncé dès notre arrivée à Londres. Il a prouvé quil est le meilleur sur cette distance lors de ces jeux, malgré tout ce quil a vécu la veille de la course avec cette histoire de son exclusion.
Nous avons bien préparé notre stratégie face au danger du trio kenyan mais aussi pour faire face au Marocain. Il a bien contrôlé sa course, il a honoré lAlgérie, cest une consécration méritée et le résultat de plusieurs années de travail ».
Rachid Hanifi (président du comité olympique algérien) : « Cest un grand moment du sport algérien. LAlgérie qui reprend sa suprématie sur le 1500 M, seize ans après la dernière victoire de Noureddine Morceli aux Jeux olympiques dAtlanta. Taoufik Makhloufi est un grand champion, il la montré ce soir. Il a remporté ses trois courses, cest quelque chose dimmense à ce niveau de la compétition. Il a parfaitement géré sa course pour finir en beauté. Cest une fierté pour lAlgérie. Je lui souhaite plus de succès à lavenir et encore bravo ».
Mohamed Azzoug (chef de mission) : « Cest des moments historiques pour le sport algérien et pour le peuple algérien. Ce mercredi à 18h30 retentira pour la première fois lhymne national au stade olympique de Londres, lors de la cérémonie de remise de médailles, cest extraordinaire. Dieu merci, nos efforts ont été récompensés à la fin.
Lathlète qui souffrait dune blessure au genou a prouvé quil est le meilleur et la prouvé lors de ces trois courses. Il a honoré lAlgérie et lathlétisme algérien, il mérite toutes nos considérations, je lui tire chapeau ».
Mustapha Larfaoui (ancien président de la Fédération internationale de natation) : « Il a fait une course extraordinaire du début jusquà la fin. Makhloufi a couru intelligemment. Il mérite largement cette victoire. Il sest comporté comme un seigneur sur la piste du stade, cest une grande journée pour le sport algérien.Cette médaille dor va faire beaucoup du bien pour le sport algérien en plein doute. Je souhaite beaucoup de chances pour les athlètes qui sont toujours en lice. »
APS
Houiller taille Dugarry
A force de critiquer, les bleus de 98 commencent a récolter ce qu'ils ont semé et deviennent des cibles privilégiées. Leur gloire passée ne les protège plus avec le poids des années. Plus de 10 ans déjà depuis le titre de 1998. Houiller, pas exempt de tous reproches non plus, ne s'est pas gêné pour faire comprendre au consultant de canal plus qu'il aurait mieux fait de se taire...
Lors de son discours d’introduction de la journée “Ensemble pour le jeu” qui se tenait à la FFF, le DTN a epinglé l'ex bordelais...
« Je souhaiterais tout d’abord rendre hommage à l’équipe de France des moins de 19 ans. C’est une formidable image que nos jeunes ont donné à l’équipe de France. Et je souhaiterais dédier cette victoire à Dugarry qui pense qu’on ne fait pas grand chose à la DTN », a-t-il balancé selon Le 10Sport.
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dimanche 16 septembre 2012
Transferts Direction opposées pour Yabeun et Hadji
Le milieu de terrain, Abou El Kacem Hadji, et l'attaquant camerounais, William Yabeun, ont pris des directions opposées ces derniers jours. Si le premier a signé à la JSM Béjaïa en provenance du WA Tlemcen, le second a pris le chemin inverse pour devenir la troisième recrue du club des Zianides.
Hadji, 21 ans, a connu deux clubs la saison dernière, le WAT et le MC Alger, qu'il a rejoint sous forme de prêt durant la trêve hivernale. En tout, il a disputé 20 matchs, inscrivant 1 but. La JSMB a dû débourser la somme de 4,75 million de dinars pour enrôler les services du jeune milieu de terrain offensif, qui a signé un contrat de trois ans avec le club de la vallée de la Soummam. Il devient donc la première recrue officielle de l'été et le troisième joueurs Widadi à rejoindre la JSMB ses deux dernières saisons, après Redouane Bachiri et Amine Boulahia.
Dun autre côté, l'attaquant camerounais William Yabeun, 25 ans, s'est engagé avec le WA Tlemcen, signant un contrat de deux ans. Les dirigeants du WAT comptent sur lui pour combler le départ de l'attaquant malgache, Carolus, qui a quitté le club pour l'USM Alger. Yabeun est arrivé à la JSMB l'été dernier mais il n'a marqué que 4 buts en 18 rencontres. Il devient la troisième recrue officielle après l'arrivée des deux joueurs des divisions amateurs, en l'occurrence Mohamed Saâdi (WA Djamel Ramdane) et Abdallah Rima (SCM Oran). Un autre joueur de la JSMB, l'international cadet Nadir Ziane, qui a disputé la Coupe du Monde U17 en 2009, pourrait également prendre le même chemin que son coéquipier Yabeun. En effet, le milieu de terrain, qui a remporté le doublé cette saison avec les U21 de la JSMB, a tout réglé avec le president Abdelkrim Yahla.
Le WAT est également en contact avec des nombreux joueurs de lélite algérienne. Selon Yahla, le club est en train de négocier avec Sofiane Khelili (JS Kabylie), Billel Naïli (CR Belouizdad), Mohamed Saâdi (MC Saïda), Mohamed Noureddine Benai (USM El Harrach), Abderahmane Lemaici (CS Constantine) et Saïd Sayah (USM Alger). Le gardien de l'USM Alger et de l'équipe nationale Espoirs, Sid Ahmed Rafik Mazouzi, devrait revenir au bercail pour une saison, sous forme de prêt.
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Le concours orange reporter 2010
Après le succès de l’édition 2009, Orange met à nouveau les étudiants au défi avec la 2ème édition du concours Orange reporter
Cette année, les étudiants passionnés de sport et d’audiovisuel sont invités à réaliser une vidéo de 3 minutes pour nous faire partager les émotions du sport.
Une opportunité pour les étudiants de révéler leur talent
Le concours Orange reporter offre une réelle opportunité aux étudiants de s’exprimer et de faire preuve de créativité sur un sujet universel : le sport. A la fin du concours, un reportage sera sélectionné par les internautes et cinq autres seront choisis par Orange. Ainsi, ces 6 étudiants ou équipes d’étudiants accèderont à la grande finale le 13 décembre 2010 et auront l’opportunité de défendre leur vidéo devant un jury d’experts composé de professionnels de l’audiovisuel, de la communication et du sport.
Le jury, composé notamment de Patrick Chêne et Fabien Galthié, appréciera le travail de ces reporters en herbe et élira le meilleur reportage sportif. Dans le cadre d’Orange reporter, plus de 150 écoles et universités sont encouragées à participer au concours. Le jury récompensera également l’école qui aura présenté le plus de vidéos ayant retenu son attention.
Orange récompense les « jeunes talents »
Les meilleurs reportages seront diffusés sur les plateformes de communication Orange (TV, Web et mobile). L’équipe gagnante aura la chance de réaliser une interview de Zinedine Zidane à l’occasion d’une rencontre exclusive à Madrid. Également à la clé pour les équipes primées, des dotations en matériel audiovisuel tel que des caméscopes numériques. Le 3 novembre, dans le cadre du prix intermédiaire, Orange récompense les 3 vidéos les plus consultées par les internautes. Les étudiants de chaque équipe se voient offrir 1 place pour un match de Ligue 1 dans le club de leur choix. Alors n’attendez plus, tous à vos caméras, la 1ère vidéo est déjà en ligne, Zidane vous attend pour une rencontre exclusive à Madrid ! Rejoignez la communauté sur facebook : http://www.facebook.com/orangereporter
Comment participer à Orange reporter ?
Pour participer au concours, il faut :
- être étudiant majeur, inscrit dans l’enseignement supérieur en France métropolitaine
- concourir seul ou par équipe de 3 maximum
- s’inscrire sur le site www.orangereporter.fr
- réaliser une vidéo de 3 minutes maximum
- uploader sa vidéo au format adéquat, entre le 1er septembre et le 17 novembre, sur le site www.orangereporter.fr
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samedi 15 septembre 2012
Paris doit-il laisser partir Nene
Remplaçant contre Lorient, le meilleur joueur parisien de la saison dernière vit mal sa situation bancale au club.
A Paris, le joueur le plus efficace de la dernière saison (21 buts, 11 passes décisives) a commencé l’exercice 2012-2013 sur le banc. L’histoire serait anecdotique, dans ce nouveau PSG où les remplaçants sont censés avoir le même niveau que les titulaires et où tous les postes doivent être doublés. Mais elle concerne Nene, l’homme au talent aussi grand que l’ego. Depuis la reprise, le Brésilien s’entraîne avec, au-dessus de la tête, l’impression poisseuse que ses dirigeants ne seraient pas déçus de le voir quitter le club. Comme beaucoup, Nene analyse leur refus de prolonger un contrat qui se termine en 2013 comme une volonté cachée de le mettre dehors. Même si Carlo Ancelotti a expliqué que Nene « n’avait jamais demandé à quitter le club », le PSG a-t-il vraiment intérêt à voir partir ce technicien hors norme ?NON Sportivement, l’ex-Monégasque de 31 ans n’a pas décliné. Même si sa faculté à multiplier les touches de balles se heurte aux consignes d’Ancelotti de jouer vite vers les attaquants, personne ne peut sérieusement contester son apport. « Les statistiques parlent pour lui, explique Rolland Courbis. Quand il est entré en jeu, le PSG était mené. Et il est à l’origine du premier but d’Ibrahimovic. Le Parc l’aime et il a tous ses repères dans ce stade où il a marqué la grosse majorité de ses buts. Pour moi, il fait partie des joueurs difficilement remplaçables. Un PSG sans Nene serait forcément un PSG plus affaibli. »
Comme l’a montré l’action en fin de match, Nene ne tirera plus les penaltys… ni la couverture à lui. Débarrassé, par la force de l’arrivée d’Ibrahimovic, de son besoin de se montrer le plus brillant soliste de l’équipe, il peut en tirer un bénéfice personnel et se concentrer à 100% sur ce qu’il fait de mieux : bien jouer au football.
OUI La bouderie sur le banc du stade Marcel-Picot (le 31 mars), où il n’avait pas supporté d’être (...) Lire la suite sur LeParisien.fr
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http://us.lrd.yahoo.com/_ylt=Akc9ZKgJUA_djgCtTPPNPzJTfsl_;_ylu=X3oDMTF0OWFrODVvBG1pdANGb2xsb3cgTW9kdWxlIEFydGljbGUgR2VuZXJpYwRwb3MDMQRzZWMDTWVkaWFTb2NpYWxGb2xsb3c-;_ylg=X3oDMTJwb2VkbjUyBGludGwDZnIEbGFuZwNmci1mcgRwc3RhaWQDM2QxZTU0MmUtYTIzZi0zOTMzLWI5ZmMtY2UzNGVlNDRlOTIyBHBzdGNhdANzcG9ydHMEcHQDc3RvcnlwYWdl;_ylv=0/SIG=11rltfnk6/EXP=1346384365/**http%3A//www.facebook.com/yahooactualites target=_blank